Mois : octobre 2015

Parce qu’on ne juge pas l’unité d’un coupe à l’absence de dispute mais à la capacité de réconciliation, voici quelques conseils qui peuvent s’avérer utiles :

Osons provoquer la dispute :  « Tu trouves que je dépense trop d’argent? Bon! Parlons-en! »

Soyons corrects : pas de coups en dessous de la ceinture! Vous connaissez les points sensibles de votre conjoint : alors n’en profitez pas. Mais ne soyez pas non plus trop susceptible!

Ne dévions pas du sujet :  nous nous disputons à propos de notre budget, alors, ce n’est pas le moment de parler des enfants…

Ne faisons pas de cours d’histoire : tout ce qui remonte à plus de deux ans est beaucoup trop vieux! La date limite de consommation est dépassée. Ne ramenons pas de vieux souvenirs, ils ne peuvent nous servir à rien…

Ne nous donnons pas de noms d’animaux : la vache, la vipère, le chameau n ‘ont rien à voir dans notre dispute. Ils ne peuvent nous servir à rien.

Ne mêlons pas une tierce personne à notre dispute :  laissons notre belle-mère où elle est. Et ne faisons pas jouer à notre voisine ou notre meilleur ami le rôle d’arbitre.

Terminons notre dispute : ne fuyons pas dans le silence ou dans les larmes. Sachons rester sur le ring jusqu’au bout et apprenons à clore. Quand c’est fini, on n’en parle plus.

Rassurez-vous, c’est le dernier conseil, mais il nous semble le plus important :

Tenons-nous la main pendant la dispute! Oui, vous avez bien lu. Tout le temps que dure la dispute, donnons-nous la main et ne la lâchons pas! Pourquoi? Non pas comme on pourrait le penser « pour éviter de la recevoir en pleine figure », mais pour nous souvenir que l’important est le respect de la personne et non la dispute. C’est vraiment l’essentiel pour construire une bonne dispute de couple!

                                                       Paru dans la Lettre des Equipes Notre-Dame. 

On raconte qu’un jour, les animaux avaient organisé une grande réunion dans une immense salle qui ressemblait à un tribunal. Chacun, à tour de rôle, venait à la barre. Ils se plaignaient de ce que les hommes leur prennent tout.

« Ils prennent mon lait » disait la Vache. « Ils prennent ma laine » disait le Mouton. « Ils prennent mes oeufs » disait la Poule. « Ils prennent ma chair pour faire des saucissons » disait le Cochon. « Ils me chassent pour mon huile » disait la Baleine. « Ils m’attrapent pour ma peau » disait le Crocodile. « Ils prennent mon sens de l’orientation » disait le Pigeon voyageur.

Le Lion, qui présidait la rencontre, cela va de soi, se faisait aider par le Renard comme greffier, par le Chien et par l’Ours comme gardiens de la paix. Ils voulaient que le dossier de ces doléances contre l’Homme soit complet. Ils veillaient à ce que même les plus petits animaux aient accès à la barre et puissent prendre la parole.

Et l’on vit arriver l’Abeille : « Ils prennent  tout mon miel » se plaignit-elle. « Ils prennent tout mon fil » disait le Ver à soie. « Ils prennent tous mes oeufs » disait l’Esturgeon. « Ils prennent parfois mes provisions », disait la fourmi. Et ainsi de suite….

Finalement, la Limace prit la parole : « J’ai quelque chose qu’ils aimeraient avoir, plus que n ‘importe quoi, quelque chose qu’ils me prendraient certainement s’ils le pouvaient : j’ai du temps! »

Nous avons tout le temps que nous voulons dans le monde, il ne tient qu’à nous de le prendre. Qu’est ce qui nous en empêche?

Alors pour commencer prenons le temps de faire une petite prière :

« Seigneur, aujourd’hui, donne-moi la patience, mais vite, vite, vite…. »

Vu sur un panneau d’affichage dans une église :

Thème du catéchisme de ce samedi :  « Jésus marche sur les eaux »

Thème du catéchisme de samedi prochain :  « A la recherche de Jésus » 

Donnez votre vie à Dieu, il saura beaucoup mieux que vous ce qu’il faut en faire.

Le Seigneur voit non seulement combien nous donnons, mais aussi combien nous gardons.

Eloignez-vous de tout ce qui ferait que Dieu aurait moins de place dans votre coeur.

Aucun sacrifice n’est trop grand pour celui qui s’est sacrifié entièrement pour nous.

Vivez aujourd’hui de la façon dont vous voudrez avoir vécu quand vous comparaîtrez devant Dieu.

L’Eglise est un atelier, non un dortoir.

Le contentement ne se trouve pas en ayant tout, mais en étant satisfait de tout ce que nous avons.

N’essayez pas de saisir la main de Dieu, laissez-le saisir la vôtre.

Faites-lui confiance, il s’occupera du reste.