Culte du 13 décembre

Accueil : Chers frères et sœurs, nous sommes déjà à notre 3ème  dimanche de l’Avent. Le temps file aussi irrésistiblement que les grains de sable que nous ne pouvons retenir dans nos mains.

Dans la mythologie grecque le temps (chronos) dévorait ses enfants et nous dévorent également puisqu’il nous montre notre finitude.

Pourtant, il existe un autre temps (kairos) qui lui est l’occasion donnée à chaque être humain de vivre quelque chose de profond et de vivifiant. Pour nous ce matin, c’est le temps de vivre une communion communautaire avec le Seigneur.

Que sa grâce et sa paix nous accompagnent et nous fortifient.

Amen.

Merci à Frieda et à Philippe Steinier pour leur aide précieuse à l’élaboration de ce culte.

« Le peuple qui marche dans la nuit voit une grande lumière. Pour ceux qui vivent dans l’obscurité, une lumière se met à briller » (Esaïe 9 : 1). 

« Son visage brille comme le soleil. Il pose sa main sur moi et il dit:
N’aie pas peur! Je suis le premier et le dernier, je suis le Vivant. J’étais mort, mais maintenant, je suis vivant pour toujours » (Ap 1 : 16-18)

Quatre bougies pour signifier quatre semaines qui nous font avancer vers Noël. En ce troisième dimanche de l’Avent, l’ouest nous apporte la douce lumière du soleil couchant. J’ai eu l’occasion de visiter courtement la collégiale de Huy au moment du coucher du soleil. Une douce et chaude lumière a traversé la rosace orientée à l’ouest, me plongeant dans cette profusion de lumières colorées émanant de la plus grande rosace de Belgique (9 mètres de diamètre). Lumière du soleil et coloris de la rosace m’ont permis de vivre cet instant comme un moment marquant dans ma communion avec Dieu.

Allumons en nous cette lumière divine qui nous rassemble et nous unit en ce temps de culte. 

 Cantique Trouver dans ma vie (cliquer sur la touche ctrl ou control et cliquer sur le lien ci-dessous)

Psaume 82

01 Dans l’assemblée divine, Dieu préside ; entouré des dieux, il juge.

02 « Combien de temps jugerez-vous sans justice, soutiendrez-vous la cause des impies ?

03 « Rendez justice au faible, à l’orphelin ; faites droit à l’indigent, au malheureux.

04 « Libérez le faible et le pauvre, arrachez-les aux mains des impies. »

05 Mais non, sans savoir, sans comprendre, + ils vont au milieu des ténèbres : les fondements de la terre en sont ébranlés.

06 « Je l’ai dit : Vous êtes des dieux, des fils du Très-Haut, vous tous !

07 « Pourtant, vous mourrez comme des hommes, comme les princes, tous, vous tomberez ! »

08 Lève-toi, Dieu, juge la terre, car toutes les nations t’appartiennent.

Voilà un psaume qui semble difficile à intégrer dans la conception traditionnelle de l’Avent qui se veut souvent être une période où on retrouve son âme d’enfant autour du sapin et de la crèche.

Pourtant, à y regarder de plus près, soupirer après plus de justice et d’équité dans ce monde parfois si cruel où ce sont les plus forts et les plus combattifs qui s’en sortent, n’est-ce pas espérer plus d’humanité, plus de fraternité et plus d’égalité entre tous ? Cette aspiration d’un monde meilleur, Jésus est venu la partager avec nous et en disant au Seigneur de juger le monde avec justice et équité, nous espérons et nous l’appelons de nos vœux.

Que ce psaume nous aide à attendre la justice de Dieu et qu’il nous aide à agir en faveur d’un monde plus juste, plus fraternel, plus équitable.

Amen 

Prière : Seigneur, merci pour ta parole qui nous rappelle l’importance d’être présents dans ce monde comme lumière et sel de la terre. Elle nous dit notre soif de toi, mais aussi la soif du monde de voir les enfants de Dieu rayonner de toi.

En ce troisième dimanche de l’avent, permets que nous soyons dans nos vies comme un vitrail traversé par ta lumière et qui inonde le monde de cette lumière d’amour, de paix et de pardon.

Amen

Cantique Pardon Seigneur, pardon

SUPPLIER – ANNONCER – PREPARER – SAVOIR

Esaïe 40 : 1-11.

1 Consolez, consolez mon peuple, Dit votre Dieu. 

2 Parlez au cœur de Jérusalem, et criez lui que sa servitude est finie, que son iniquité est expiée, qu’elle a reçu de la main de l’Eternel au double de tous ses péchés. 

3 Une voix crie: préparez au désert le chemin de l’Eternel, aplanissez dans les lieux arides une route pour notre Dieu. 

4 Que toute vallée soit exhaussée, que toute montagne et toute colline soient abaissées! Que les coteaux se changent en plaines, et les défilés étroits en vallons!

5 Alors la gloire de l’Eternel sera révélée, et au même instant toute chair la verra; car la bouche de l’Eternel a parlé. 

6 Une voix dit: crie! -et il répond: que crierai-je? Toute chair est comme l’herbe, et tout son éclat comme la fleur des champs. 

7 L’herbe sèche, la fleur tombe, quand le vent de l’Eternel souffle dessus. -certainement le peuple est comme l’herbe: 

8 L’herbe sèche, la fleur tombe; mais la parole de notre Dieu subsiste éternellement.

9 Monte sur une haute montagne, Sion, pour publier la bonne nouvelle; Elève avec force ta voix, Jérusalem, pour publier la bonne nouvelle; Elève ta voix, ne crains point, dis aux villes de Juda: Voici votre Dieu! 

10 Voici, le Seigneur, l’Eternel vient avec puissance, et de son bras il commande; Voici, le salaire est avec lui, et les rétributions le précèdent. 

11 Comme un berger, il paîtra son troupeau, Ii prendra les agneaux dans ses bras, et les portera dans son sein; il conduira les brebis qui allaitent.

                                                                —————-

Je suis à peu près sûr, en lisant ce passage du prophète Esaïe, que votre attention (tout comme la mienne d’ailleurs) est immanquablement attirée par le verset 3.

Ce verset bien connu est repris en écho en Matthieu 3 verset 3  « Jean est celui qui avait été annoncé par Esaïe, le prophète, lorsqu’il dit: C’est ici la voix de celui qui crie dans le désert: Préparez le chemin du Seigneur, Aplanissez ses sentiers « .

C’est ce que j’appelle  » l’effet kangourou  » ou un verset particulièrement important se répète (soit fidèlement, soit un peu transformé) aussi bien dans l’ancien que dans le nouveau testament.

Cette répétition du texte, qui peut être séparée par des siècles d’écart, assure sans ambiguïté la cohérence mais aussi la force et le socle de tout notre enseignement biblique (et donc par extension de notre foi en notre Seigneur Jésus Christ). 

Il n’y a donc jamais eu de coupure, comme certains l’ont parfois suggéré, entre le premier et le deuxième testament.

Pourtant, il existe un autre passage dans ce texte d’Esaïe qui s’amuse à jouer au « kangourou ».  

Regardons les versets 6 à 8 où notre fragilité d’existence est comparée à de l’herbe qui se dessèche, tombe et n’est plus… Cela nous vous rappelle rien ? 

Retour en arrière ! On rembobine !

Dans le livre de l’Exode, Moïse fait sortir Israël d’Egypte, il reçoit les 10 paroles, et continue à mener le peuple de Dieu vers la terre promise.

A cause de l’infidélité de ce même peuple, de son idolâtrie, de ses rébellions chroniques, Dieu va le faire errer dans le désert pendant 40 ans. 

40 ans de désert, 40 ans d’attente… Moïse lui-même en est affecté au plus profond de lui-même.

C’est à ce moment précis de désespoir qu’apparait le psaume 90 appelé également  « la prière de Moïse ». 

Moïse se rend compte de cette même fragilité d’existence, une fragilité qui sera exprimée en des termes semblables aux versets 5 à 7 et au verset 16 de ce même psaume.

Lisons les ensemble voulez-vous ? Voici : 

5 Tu les emportes, semblables à un songe, Qui, le matin, passe comme l’herbe: 

6 Elle fleurit le matin, et elle passe, On la coupe le soir, et elle sèche. 

7 Nous sommes consumés par ta colère, Et ta fureur nous épouvante.

16 Que ton œuvre se manifeste à tes serviteurs, Et ta gloire sur leurs enfants!

Ces versets montrent combien cet écrit s’adresse toujours à nous avec cette même vérité, cette même force.

Je suis toujours aussi fragile : je viens au monde, je traverse l’existence, je m’en vais en un clin d’œil. En disant ceci, je paraphrase Moïse qui avait cette même impression que moi (et je suis sûr que vous) dans « son » désert.

De même, tout comme Moïse, nous nous rendons toujours compte que notre vie n’est pas assortie que de bonnes actions. 

Malgré notre volonté de bien faire et de plaire à Dieu, notre humanité et notre état de pécheur nous joue des tours. 

Arrivé au terme de notre existence, nous savons que nous aurons toujours un contentieux à régler avec Dieu. 

Mais c’est au verset 16 que s’arrête aussi les similitudes. 

En effet, Moïse adresse une supplique à Dieu pour que son œuvre et sa gloire se manifestent à ses serviteurs. 

Esaïe, quant à lui, va encore plus loin : il prophétise l’arrivée future du Messie Divin. Il n’est plus dans la supplique comme Moïse mais dans l’espérance de l’arrivée de Jésus qu’il ne verra toutefois pas de son vivant. 

Et nous ? 

Si Moïse suppliait, si Esaïe annonçait, nous, de notre côté nous avons une chose que les deux personnages bibliques n’avaient pas !

Savez-vous laquelle ? 

La certitude que ce Messie, celui qui est la parole faite chair, celui qui endosse nos péchés pour régler à l’avance notre contentieux avec Dieu est venu parmi nous.

Imaginez quelle chance nous avons en ce temps d’Avent : NOUS SAVONS ! 

Nous savons maintenant que ce petit enfant 100% humain et 100% Divin est l’accomplissement de ce verset 16 : » Que ton œuvre se manifeste à tes serviteurs, Et ta gloire sur leurs enfants! « 

Moïse a demandé, Esaïe a annoncé, Jean le Baptiste a préparé et nous…..NOUS SAVONS !

Laissons donc une douce joie nous envahir en cette période d’Avent, en cette période de noël, en cette période bénie, cette période qui nous remémore que NOUS SAVONS !

Il est venu, il nous a enseigné, il nous a montré le vrai visage d’un Dieu d’amour, il nous offre le pardon et le salut !

Nous le savons, réjouissons-nous !

Amen.

Cantique Aube nouvelle

Luc 1 : 67-79

67 Zacharie, son père, fut rempli d’Esprit Saint et prononça ces paroles prophétiques :

68 « Béni soit le Seigneur, le Dieu d’Israël, qui visite et rachète son peuple.

69 Il a fait surgir la force qui nous sauve dans la maison de David, son serviteur, 70 comme il l’avait dit par la bouche des saints, par ses prophètes, depuis les temps anciens : 71 salut qui nous arrache à l’ennemi, à la main de tous nos oppresseurs,72 amour qu’il montre envers nos pères, mémoire de son alliance sainte, 73 serment juré à notre père Abraham de nous rendre sans crainte, 74 afin que, délivrés de la main des ennemis, 75 nous le servions dans la justice et la sainteté, en sa présence, tout au long de nos jours.

76 Toi aussi, petit enfant, tu seras appelé prophète du Très-Haut ; tu marcheras devant, à la face du Seigneur, et tu prépareras ses chemins 77 pour donner à son peuple de connaître le salut par la rémission de ses péchés, 78 grâce à la tendresse, à l’amour de notre Dieu, quand nous visite l’astre d’en haut, 79 pour illuminer ceux qui habitent les ténèbres et l’ombre de la mort, pour conduire nos pas au chemin de la paix. »

Prédication : 

J’avoue que je ne sais pas trop comment aborder un texte si souvent lu et apprécié dans la tradition catholique romaine. Pourtant, ce que Zacharie, le père de Jean le baptiseur, résume bien ce que Luc (et aussi Matthieu) veulent exprimer à propos de la naissance de Jésus : Il sera un enfant comme un autre, mais dont la portée sera unique. Il est appelé au verset 69 « la force qui nous sauve », le « salut qui nous arrache à l’ennemi et à la main de l’oppresseur (v. 71), l’« amour » et il nous « rend sans crainte » (v. 73), pour le « servir » (v.75). 

Et Jean le baptiseur aura cet immense privilège d’annoncer le « salut », la « tendresse », la « paix ».

13 versets pour résumer toute la Bonne Nouvelle de Jésus, encore plus court que les 31 versets du chapitre 1 de la Genèse où Dieu met de l’ordre dans sa création en séparant les éléments et en créant un espace viable pour Adam et Eve.

Toute cette réflexion vient de cette conviction profonde que Dieu intervient en faveur de ce monde qu’il a créé et aimé.

Zacharie l’exprime par l’image de la visite : Dieu a visité, il est venu en visite sur la terre de son peuple. Cette visite est vue comme une délivrance, une libération, comme une déclaration solennelle à un peuple qui gémit sous le poids de la tristesse. A ce peuple Dieu dit je suis là, je viens dans ton monde, dans ton univers.

Je suis là quand tu souffres, je suis là quand tu as soif de justice et que tu doutes de tout, je suis là quand tu passes par des moments de découragement. Je suis dans le petit enfant qui naîtra et dont Jean sera le prophète qui l’annonce dans le désert.

Cet enfant qui deviendra grand et sera appelé Emmanuel et Jésus, cet enfant qui donnera consolation et espérance d’un monde meilleur d’abord ici-bas et plus tard dans l’éternité.

Frères et sœurs, cette visitation de Dieu n’est pas pour le ciel seulement, elle est pour cette terre ici-bas. Elle devient notre soif et notre objectif qui nous anime et nous pousse à être comme Jean le baptiseur, des hommes et des femmes qui annoncent autour d’eux ce Dieu fait homme qui apporte le « salut », la « tendresse », la « paix », des hommes et des femmes qui proclament que Dieu fait homme est « la force qui nous sauve », le « salut qui nous arrache à l’ennemi et à la main de l’oppresseur, l’« amour » et qu’il nous « rend sans crainte » pour le « servir ». 

C’est d’ailleurs sur ces critères de témoignages que Jésus nous attend et qu’il espère que Son église se concentrera : Car j’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais étranger, et vous m’avez recueilli ; j’étais nu, et vous m’avez vêtu ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus vers moi (Matthieu 25 : 35 et 36).

Ce type de « visite », n’a rien d’une visite d’un supérieur à un inférieur, une visite de quelqu’un qui va faire l’évaluation de l’autre, mais bien d’une visite d’amitié, de soutien, d’encouragement.

Zacharie prononce ces paroles au moment où il devient père, alors que 9 mois plus tôt son épouse était qualifiée de stérile, comme si Luc disait que Jésus qui vient viendra féconder, enrichir notre vie de sa présence bénissante.

En ce troisième dimanche de l’Avant, que la grâce, l’amour, la paix et la confiance dans le Seigneur nous fortifient tous dans notre vie.

Amen

Cantique Comme un souffle fragile

Chant des Veilleurs (Jacques Juillard)

C’est vrai, le grand matin n’est pas encore venu, c’est encore le chant de la nuit, le chant des veilleurs qui appellent l’aurore.

Mais déjà danse en nous la lumière, déjà le chant de l’aube habite nos silences.

Entonnons le chant des veilleurs qui voient plus loin que la nuit, qui bâtissent leur vie sur leur rêve, qui sont déjà d’ailleurs et de plus loin, du Royaume d’amour sans fin qu’ouvre la vieille histoire de l’enfant de Noël.

Au plus profond de nous, la vie rejoint le rêve, et les désirs enfouis d’amour et de beauté.

Si tu plonges dans ces profondeurs, tu trouveras l’élan de vivre sans dormir, d’ouvrir grand les yeux même au cœur de la nuit.

Ton chemin sera jalonné de lueurs d’enfance, de balises d’espérance.

C’est maintenant le temps des veilleurs, Porte-flambeaux de l’Evangile, qui voient l’aurore au loin et qui chantent.

Annonces 

  • Prions les uns pour les autres. Prions pour celles et ceux qui passent par des épreuves quel que soit le nom que portent ces épreuves (deuil, maladie, découragement, etc.)
  • Le Cœur  en bandoulière toujours là !

Le Cœur  en bandoulière revient! 

Dans cette période étrange et difficile que nous traversons, il n’a jamais été aussi important de continuer à vivre des moments de solidarité et d’entraide vis à vis des personnes les plus défavorisées et démunies.

Parlons entraide, justement!

Etant donné les règles sanitaires en vigueur, il ne sera malheureusement pas possible pour vous de constituer par vos propres moyens un sac-cadeau comme vous l’avez généreusement fait l’an dernier.

Toutefois nous ne lâchons rien. Notre objectif est de constituer des sacs-cadeau pour une soixantaine de personnes précarisées, avec un focus particulier sur les articles permettant de se protéger du Covid-19, mais aussi, des douceurs dont tous ont bien besoin en cette période.

Après réflexion, nous pouvons dire aujourd’hui : PAS DE PANIQUE …. NOUS AVONS LA SOLUTION !!!

Premièrement : j’ai préféré me concentrer cette année sur une seule association: L’Entr’Aide Protestante Liégeoise hébergée dans les locaux de la paroisse de Lambert-le Bègue.

Deuxièmement : pour participer, rien de plus simple ! Il vous suffit de vous installer devant votre ordinateur et de verser votre don en ligne dans la cagnotte solidaire du Cœur en bandoulière. 

Envie de participer ? 

Rien de plus simple : la cagnotte solidaire en ligne du Cœur en bandoulière est ici: https://www.leetchi.com/c/le-coeur-en-bandouliere-toujours-la

Un grand merci d’être toujours là avec nous, je sais que nous pouvons compter encore cette année sur vous .. Vous avez toujours répondu avec générosité et je tiens à vous en remercier du fond du cœur au nom des personnes qui retrouveront un large sourire lors de la distribution des sacs cadeaux.

Et participer, c’est aussi partager le lien vers cette cagnotte auprès de vos amis, connaissances et famille ! Jouons l’entraide à fond !                   

Gabrielle

  • Si vous souhaitez rencontrer le pasteur dans un lieu sanitairement sûr, une permanence pastorale est assurée le mardi de 18h00 à 20h00 et le vendredi de 17h00 à 19h00. 

Rien de plus simple que d’annoncer au pasteur votre venue et de venir partager et prier ensemble.

Offrande 

Notre offrande est aussi une façon de louer le Seigneur et  de veiller à la vie matérielle de cette communauté.

Deux moyens sont disponibles pour notre offrande :

1 – Un ordre permanent (plus simple pour notre trésorier)

2 – Un versement sur le compte de notre église  BE 32 0016 6002 9102 

Que le Seigneur nous guide et nous éclaire également dans cette façon de l’honorer.

Bénédiction : Que la grâce et la paix de Dieu vous accompagnent tout au long de cette semaine. Amen 

Cantique Je lève les yeux

daniel laenen

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