Dimanche 6 décembre : 2ème dimanche de l’Avent

Bonjour à tous, dans la grâce et la paix du Seigneur qui était, qui est et qui vient. Nous sommes (déjà) à notre deuxième dimanche de l’Avent, dans cette période d’attente qui précède la venue du Seigneur Jésus. 

Cette année, la pandémie ne nous permet pas le luxe de l’insouciance. Il nous reste cependant un bien très précieux : La paix du Seigneur. En ce dimanche de culte à distance, que la paix du Seigneur soit avec chacun d’entre nous, dans nos joies et dans nos tristesses. Merci à Frieda et à Philippe Steinier pour leur précieuse collaboration à la réalisation de ce culte.

Merci surtout au Seigneur d’être notre Emmanuel.

Cantique Ô Jésus, tu nous appelles (appuyez sur la touche control ou ctrl et en même temps cliquez sur le lien ci-dessous)

Psaume 80 : 2-6, 15-16, 19-20

02 Berger d’Israël, écoute, toi qui conduis Joseph, ton troupeau : resplendis au-dessus des chérubins, 03 devant Éphraïm, Benjamin, Manassé ! Réveille ta vaillance et viens nous sauver.

04 Ô Dieu, fais-nous revenir ; que ton visage s’éclaire et nous serons sauvés !

05 Seigneur, Dieu de l’univers, vas-tu longtemps encore opposer ta colère aux prières de ton peuple, 06 le nourrir du pain de ses larmes, l’abreuver de larmes sans mesure ?

15 Dieu de l’univers, reviens ! Du haut des cieux, regarde et vois : visite cette vigne, protège-la, 16 celle qu’a plantée ta main puissante, le rejeton qui te doit sa force.

19 Jamais plus nous n’irons loin de toi : fais-nous vivre et invoquer ton nom !

20 Seigneur, Dieu de l’univers, fais-nous revenir ; que ton visage s’éclaire, et nous serons sauvés.

Que ton visage s’éclaire Seigneur, Dieu de l’univers !

Le psalmiste (au nom du peuple tout entier), comme tout être humain devant un échec, un drame ou une faute a cette impression que Dieu est en colère, que son visage est sombre, qu’il respire par saccade comme un taureau prêt à foncer sur sa cible en rouge dans l’arène. 

Cette image d’un Dieu en colère est accentué par la mention des chérubins (verset 2) qui, loin d’être des anges à la tête blondinette et tendre comme nos chers enfants, sont les anges chargés de barrer l’accès du jardin d’Eden au couple premier qui venait de manger le fruit défendu (Genèse 3 : 24).

Que serait-ce une vie éternelle avec le remord de la faute commise sinon un enfer éternel de regret et de culpabilité ?!

C’est ce qu’exprime ce psaume 80 : Un regret éternel des actes manqués, qui ne pourraient être oubliés par Dieu que si son visage s’éclaire et nous sourit.

Mais Dieu a-t-il jamais cessé de sourire à l’homme pécheur ? En son Fils Jésus-Christ n’a-t-il pas révélé son vrai visage, celui de l’amour et du pardon inconditionnel ? N’oublions pas cette parole de Jésus « Père pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font ? »

Savoir quoi faire, savoir quoi dire quand le malheur frappe à notre porte, savoir quoi faire, savoir quoi dire quand le souvenir de nos fautes nous accable ! Depuis Adam jusqu’à nous, en passant par ce psaume, nous ne savons quoi dire ou quoi faire, sauf peut-être demander pardon et espérer que Dieu éclairera sa face.

Espérer, attendre le pardon de Dieu ? Mais, il est venu et il reviendra en  la personne de Celui que Dieu nous a envoyé (c’est le sens du titre Messie ou Christ, celui qui a été oint pour la mission que Dieu lui a confiée), Jésus.

Que Dans sa grâce, Jésus le Fils bien-aimé du Père nous convainque que la face de Dieu est toujours éclairée pour nous, car Dieu est amour et il ne peut se renier.

Amen 

Cantique Bénis l’Eternel, mon âme

« Deux Avents pour le prix d’un ! » ( Luc 21 : 25-33 ).

25 Il y aura des signes dans le soleil, dans la lune et dans les étoiles. Et sur la terre, il y aura de l’angoisse chez les nations qui ne sauront que faire, au bruit de la mer et des flots,

26 les hommes rendant l’âme de terreur dans l’attente de ce qui surviendra pour la terre; car les puissances des cieux seront ébranlées.

27 Alors on verra le Fils de l’homme venant sur une nuée avec puissance et une grande gloire.

28 Quand ces choses commenceront à arriver, redressez-vous et levez vos têtes, parce que votre délivrance approche.

29 Et il leur dit une comparaison: Voyez le figuier, et tous les arbres.

30 Dès qu’ils ont poussé, vous connaissez de vous-mêmes, en regardant, que déjà l’été est proche.

31 De même, quand vous verrez ces choses arriver, sachez que le royaume de Dieu est proche.

32 Je vous le dis en vérité, cette génération ne passera point, que tout cela n’arrive.

33 Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point.

                                                ———

Ce texte nous est proposé par l’UEPAL pour être lu en cette période d’Avent. 

Je me suis souvenu que ce n’est pas la première fois que ce texte de Luc, pourtant écrit dans un langage apocalyptique, nous a été proposé dans cette même période ! 

Après quelques recherches, je me suis rendu compte que ce fut le cas en 2008, en 2010 et sans doute encore à bien d’autres moments. 

Mais pourquoi nous proposer un texte qui semble se référer à la fin des temps alors que nous réfléchissons et nous nous réjouissons actuellement de la venue sur terre de notre Seigneur et sauveur ?

Est-ce pour « plomber » l’ambiance ? Est-ce là une espèce de masochisme chrétien ? 

Moi, je vous l’avoue, je préfère actuellement penser à la « crèche », au petit Jésus, à Marie et à Joseph, aux mages, aux bergers, aux anges et tout ce qui fait la beauté de la période de Noël… 

Bon, je vous l’avoue, comme je suis un grand curieux, j’ai voulu trouver une réponse (ou du moins, soyons modeste, une réponse possible et plausible) à cette question.

Je vous propose donc de prendre un peu de hauteur et de réfléchir au texte dans son ensemble.

Si nous lisons d’un peu plus près ces versets, nous nous rendons compte que notre cerveau nous joue un petit tour un peu espiègle. 

Nous constatons que nulle part il n’est question de fin du monde ou des temps. C’est le vocabulaire employé qui nous y fait songer (il y aura des signes, de l’angoisse, du bruit, de la terreur, de l’angoisse…).

Nous nous focalisons sur ce vocabulaire négatif car nous avons tous une écoute sélective, nous sommes, tel un spectateur devant sa télévision, fascinés et aveuglés par la crainte, le malheur, les mauvaises nouvelles.  

C’est un fait bien connu des professionnels du monde des médias: lorsque l’on parle de faits positifs et joyeux, l’audimat baisse, lorsque l’on parle de catastrophes, il remonte… 

Alors, je vous propose de sortir de notre conditionnement négatif et attachons-nous à la suite du texte de Luc, car l’essentiel, c’est bel et bien ce qui suit. 

Au verset 28 il est écrit :  » Quand ces choses commenceront à arriver, redressez-vous et levez vos têtes, parce que votre délivrance approche ».

Et voilà que nous commençons à comprendre tout doucement quelle est la connexion avec ce temps de l’Avent. 

Pour les Juifs de l’époque, tout semblait aussi indiquer que le monde allait s’écrouler : un empire romain brutal qui domine, des conflits sanglants qui font partie de la vie quotidienne, un joug religieux immense, des famines qui sont légions… 

On pourrait dire à notre époque que la population juive du moment est assise sur une « cocotte minute prête à exploser ». Un peu comme nous en 2020.

Mais, reprenons notre texte. 

Celui-ci nous fait comprendre que c’est au moment où nous nous enfermons dans des idées négatives, que nous pensons tout perdre, que le fils de l’homme décide de se manifester.

Ce Jésus bébé, né dans des conditions si humbles, efface d’un seul coup le côté négatif de cette dure période. Au contraire, ce moment devient béni, rayonnant et ceci grâce à la promesse vivante de la délivrance. Voici l’arrivée tant attendue du Messie!  

Cette période aurait dû être vécue par TOUTE la population comme une période de joie immense et non pas comme une période de détresse mais ils n’en savaient rien, ils étaient aveuglés, ils n’ont rien vu venir …

Ça y est ! La période de l’Avent prend toute sa signification. 

En plus, ce texte s’adresse directement à nous !

Jésus nous encourage à persévérer, il nous réconforte et nous assure qu’il est toujours en ce moment même à nos côtés. 

Il nous fait comprendre que nous n’avons aucun motif de désespérer malgré nos peines, que nous devons nous redresser, persévérer et il nous incite à repenser ainsi à sa première venue.

Il nous assure que nous allons vivre un autre noël mais cette fois, bien différent et grandiose, un noël annonciateur de notre délivrance réelle, de notre vraie restauration.

Il ne viendra pas, comme la première fois, nous enseigner le plan du salut, nous expliquer quel est le vrai visage de Dieu, nous enseigner ce que Dieu attend de nous, il ne viendra pas endosser nos péchés.. 

Non rien de tout cela ! Il reviendra accomplir concrètement et réellement toute chose, nous apporter non pas une promesse de délivrance mais bien la délivrance elle-même…

Voilà pourquoi ce texte nous est sans doute proposé en cette période d’Avent. 

Il nous rappelle ce moment unique de la première venue de Jésus mais nous connecte aussi directement avec sa deuxième venue, ce deuxième noël.

Nous comprenons alors qu’une période qui peut nous interpeller et nous fasciner, malgré nous, par son aspect négatif (vous vous souvenez du télespectateur ?) est en réalité un temps d’attente et de joie vers l’accomplissement de la promesse. 

En quelque sorte, nous vivons une deuxième période d’Avent mais encore plus joyeuse et aboutie que celle à laquelle nous avons l’habitude de penser. … 

Nous vivons maintenant l’Avent qui aboutira à la plénitude de toutes choses ! 

Réjouissons-nous car, du premier Avent de la promesse nous sommes passés au deuxième Avent, celui de la vie et de la restauration éternelle !

Amen.

C’est l’Avent

Allume une braise dans ton cœur, c’est l’Avent.

Tu verras, l’attente n’est pas vaine quand on espère quelqu’un.

Allume une flamme dans tes yeux, c’est l’Avent.

Regarde autour de toi, on a soif de lumière et de paix.

Allume un feu dans tes mains, c’est l’Avent.

Ouvre-les à ceux qui n’ont rien, ta tendresse est à bout de doigts.

Allume une étoile dans ton ciel, c’est l’Avent.

Elle dira à ceux qui cherchent qu’il y a un sens à toute vie.

Allume un foyer en hiver, c’est l’Avent.

Les transis du cœur et du corps viendront et il fera chaud au cœur du monde.

Il suffit d’une seule.

Amen 

Cantique Comme un souffle fragile

Lecture biblique : Jacques 5 : 7-8 (9-11)

07 Frères, en attendant la venue du Seigneur, prenez patience. Voyez le cultivateur : il attend les fruits précieux de la terre avec patience, jusqu’à ce qu’il ait fait la récolte précoce et la récolte tardive.

08 Prenez patience, vous aussi, et tenez ferme car la venue du Seigneur est proche.

(09 Frères, ne gémissez pas les uns contre les autres, ainsi vous ne serez pas jugés. Voyez : le Juge est à notre porte.

10 Frères, prenez pour modèles d’endurance et de patience les prophètes qui ont parlé au nom du Seigneur.

11 Voyez : nous proclamons heureux ceux qui tiennent bon. Vous avez entendu dire comment Job a tenu bon, et vous avez vu ce qu’à la fin le Seigneur a fait pour lui, car le Seigneur est tendre et miséricordieux).

Prédication

L’amour ne loge pas sous le même toit que le jugement

L’écrit de Jacques a depuis (presque) toujours été sujet à contestation. Luther l’avait qualifié d’ « épître de paille », montrant ainsi le peu d’estime qu’il avait pour cette épître qui a été pourtant écrite par Jacques le frère de Jésus. 

D’autres ont montré leur embarras quant à la structure de cette épître qui semble être une juxtaposition de conseils, d’exhortations et de condamnations sans liens apparents. 

Cet embarras semble apparaître également dans la délimitation du texte à prêcher ce matin (lire les versets 9 à 11 ou non ?)

Pourtant, l’épître de Jacques existe et elle fait partie de notre Bible, au même titre que toutes les autres !

Que dire sur Jacques ? 

Retenons qu’il est le frère de Jésus et qu’il exerce une grande influence sur l’Eglise de Jérusalem. Preuve en est que c’est son avis (un compromis) qui est accepté lors de « l’Assemblée d’Eglise » d’Actes 15 : 1-29.

Ensuite, qu’il est particulièrement sensible à certains péchés, notamment celui de la langue qui est qualifié de feu de la géhenne (Jacques 3 : 6-7) et celui du manque de solidarité fraternelle (Jacques 2 : 15-17).

Dans notre texte prolongé par les versets 9 à 11, Jacques exhorte les membres de la communauté à ne pas se juger les uns les autres. 

Pourquoi donc ? Parce qu’il n’y a rien à dire ? Parce que nous sommes tous parfaits et donc non-critiquables ? 

Ce serait super, si nous avions tous atteints un tel degré de perfection et de sanctification qui ne laisseraient plus aucune prise à la critique, mais, hélas, ce n’est pas le cas. 

Alors pour quelle raison ? 

Pour Jacques, il existe une raison fondamentale à ne pas se juger les uns les autres, et cette raison, c’est le Seigneur et son avènement. 

C’est au nom du Seigneur et de son avènement que Jacques exhorte l’Eglise à ne pas jouer au juge.

La version grecque de l’épître montre combien Jacques a été un génie dans le choix des mots. En effet, dans les versets 7 et 9, il emploie deux actions qui décrivent deux attitudes contraires : l’action d’être patients (ou prendre patience dans notre version), répété au verset 8 et l’action de se plaindre (traduit dans notre version par ne gémissez pas).

Son génie est de mettre en opposition deux types d’attitudes : La patience (qui n’a pas d’objet) et la plainte (qui a pour objet les frères et sœurs). La patience qui se traduit littéralement par largeur, grandeur de la passion et qui n’est donc pas synonyme de passivité, d’aveuglement, de naïveté ou de faiblesse, comme certains semblent le croire. Elle est au contraire une énergie concentrée vers le but, le fruit, comme le laboureur qui après avoir semé, est centré sur la future récolte (verset 7). Le but de cette patience est donc de récolter beaucoup de (bons) fruits.

Comment appliquer cela à la relation humaine ? C’est de laisser de la place à l’autre jusqu’à l’avènement du Seigneur. C’est de laisser de l’espace à l’autre et de ne pas l’enfermer uniquement dans sa faute. Ce frère, cette sœur, il est bien plus que sa faute, son erreur et son péché. Et puisqu’il en est ainsi, mon cœur ne doit pas l’enfermer dans sa faute, son erreur et son péché. 

La patience préconisée par Jacques est donc de l’ordre de la largeur de notre cœur !

Et son contraire, traduit par se plaindre ou gémir contre son frère ou sa sœur, c’est de l’ordre de l’étroitesse, du manque de place que nous laissons dans notre cœur à notre frère ou à notre sœur (dans le mot grec que l’on traduit par patience, il  a le préfixe « makro » comme dans macro-économie et dans celui que l’on traduit par gémir ou se plaindre, il y a le préfixe « sténo » qui a donné notamment le terme médical de sténose, d’une artère par exemple, c’est-à-dire rétrécissement).

Rappelons que Jacques nous invite à ne pas être étroits avec nos frères et sœurs, non pas pour des raisons humanistes, mais au nom du Seigneur et de son avènement.

En ce deuxième dimanche de l’Avent, deux temps se télescopent pour nous : Celui de Noël et de la venue du Fils de Dieu, il y a plus de 2.000 ans et celui de son avènement. Cependant, ces deux temps sont orientés et nous orientent vers l’ici et le maintenant : En attendant de vivre Noël et en attendant l’avènement du Fils de Dieu, ce texte de Jacques nous oriente vers notre façon de vivre en communion avec nos frères et sœurs (et bien sûr avec notre prochain qui ne fréquente pas la communauté) : Lui laissons-nous assez d’espace d’amour, de respect et de soutien (ce sont les versets 7 et 8) ou au contraire, l’enfermons-nous dans sa faute, son erreur et son péché (ce sont les versets 9-11) ?

Que le Seigneur qui était, qui est et qui vient nous éclaire (de ses deux bougies de l’Avent).      Amen

Cantique Enfant de la terre

Annonces 

  • Plusieurs familles de notre communauté ont été frappées par le deuil d’un proche ou par des maladies plus ou moins graves. Je suis sûr qu’il existe une belle solidarité au sein de ces familles, mais, ils ont aussi besoin de notre soutien et de nos prières. Ne nous lassons donc pas de prier les uns pour les autres.
  • Si vous souhaitez rencontrer le pasteur dans un lieu sanitairement sûr, une permanence pastorale au temple est assurée le mardi de 18h00 à 20h00 et le vendredi de 17h00 à 19h00. 

Rien de plus simple que d’annoncer au pasteur votre venue et de venir partager et prier ensemble.

Offrande 

Notre offrande est aussi une façon de louer le Seigneur et  de veiller à la vie matérielle de notre communauté.

Deux moyens sont disponibles pour notre offrande :

1 – Un ordre permanent (plus simple pour notre trésorier)

2 – Un versement sur le compte de notre église  BE 32 0016 6002 9102 

Que le Seigneur nous guide et nous éclaire également dans cette façon de l’honorer.

Prière d’intercession 

Béni sois-tu Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit, pour ton amour qui ne tarit jamais.

Garde-nous ouverts aux autres. Ils sont nos frères et sœurs, créés à ton image.

Nous te confions les personnes malades, ainsi que leurs proches désemparés et souvent épuisés.

Nous te prions pour toutes les personnes qui portent tant de fardeaux :

  • ceux qui portent seul(e) la charge de toute une famille
  • ceux qui font face aux incertitudes et redoutent le chômage
  • ceux qui constatent qu’ils ne peuvent plus faire face à leurs dettes…

Nous te remettons ceux qui dirigent notre pays, nos entreprises, nos communes. Aide-les à se dégager des soucis du pouvoir et à saisir leur indispensable rôle envers les plus fragiles.

Nous te prions pour les personnes qui vivent sous l’oppression des pouvoirs injustes, qui sont menacées ou emprisonnées pour leur conviction et leur foi. Fortifie les artisans de paix et de justice.

Nous te prions pour ton Eglise, ici et à travers le monde. Garde-la éveillée en présence des injustices et inspire-la dans ce qu’elle est capable d’accomplir, avec ses moyens et ses talents.

Seigneur, entends notre prière. 

Amen.

Bénédiction : Que la grâce et la paix de Dieu vous accompagnent tout au long de cette semaine. Amen 

Cantique 454 merci d’un cœur reconnaissant

daniel laenen

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