Catégorie : Annonces et événements à venir de notre paroisse.

L’échelle de Jacob présente dans l’Ancien Testament est un passage important dans le texte biblique. Parfois ce texte ( également appelé le songe de Jacob ) est utilisé pour essayer de comprendre le type de relation que nous entretenons avec l’Éternel. Ceci explique que rien n’est anodin dans ce texte de la Genèse. Monter, descendre ou emprunter dans les deux sens l’échelle de Jacob ne nous donne pas les mêmes informations sur le sens de notre relation avec Dieu. Que nous dit exactement le texte biblique ?

(La séparation est-elle réellement un vrai adieu ?)

Pour son dernier culte dans notre communauté, le Pasteur Grégory Tassioulis nous parle de la séparation. Nous considérons souvent la séparation avec nos proches comme un adieu définitif. Tout bien considéré est-ce bien le cas ? Ce qui est sur, c’est que cette séparation est un moment spécial qui se situe entre passé et futur, entre ceux qui restent et ceux qui partent. Que nous dit exactement le texte biblique ?

(Quel dialogue entre Dieu et nous ?) Suivre le cheminement de Dieu dans les écritures bibliques nous fait comprendre quel type de dialogue peut s’établir avec Dieu. Dieu ne communique pas dans le cadre d’un monologue autoritaire et despotique mais préfère un dialogue franc et sincère. La prédication du jour répond à cette question intéressante : Si nous ne sommes pas d’accord avec Dieu, pouvons-nous argumenter et faire part de notre désaccord ? L’ étude des écritures est très révélatrice à ce sujet.

( Réflexion sur l’humain comme juge des bonnes et mauvaises actions ) Dans la croyance de l’Égypte antique, après la mort, le cœur du défunt était pesé dans une balance. Si les mauvaises actions étaient plus lourdes que le poids d’une plume, le défunt était alors dévoré. Dans le cas inverse, il accédait à la vie éternelle. Dans le christianisme, nous mettons aussi fréquemment en balance les bonnes et mauvaises actions en rapport avec la vie éternelle. Pourtant nous nous méprenons souvent sur le sens du jugement. La prédication de ce culte aborde ce sujet important et d’actualité.

Le pouvoir des mots

Glané dans le livre des Proverbes :

-La mort et la vie sont au pouvoir de la langue; Quiconque l’aime en mangera les fruits. 18:21

-Tel, qui parle légèrement, blesse comme un glaive; Mais la langue des sages apporte la guérison. 12:18

-La langue douce est un arbre de vie, Mais la langue perverse brise l’âme. 15:4

-Une réponse douce calme la fureur, Mais une parole dure excite la colère.15:1

Éphésiens 4:29 :

Qu’il ne sorte de votre bouche aucune parole mauvaise, mais, s’il y a lieu, quelque bonne parole, qui serve à l’édification et communique une grâce à ceux qui l’entendent.

Et dans la version « français courant » : 4 :29 – Qu’aucune parole mauvaise ne sorte de votre bouche; dites seulement des paroles utiles, qui répondent à un besoin et encouragent autrui, pour faire ainsi du bien à ceux qui vous entendent.

AU COMMENCEMENT, IL Y EUT… CAÏN ET ABEL. S’il y a bien deux noms connus dans le livre de la Genèse, ce sont bien ceux de Caïn et Abel. Pourtant, si Abel nous semble être le « gentil » de l’histoire, il n’en reste pas moins que Dieu va s’occuper et dialoguer presque exclusivement avec Caïn « le méchant ».  Pourquoi cette différence de traitement ? C’est sur cette question que Guy Léga se base pour nous faire partager une vision éclairée et originale du rôle de Caïn en relation avec Dieu.